CSC : ALLAM fait faux-bond, et se retire
علام ينسحب بعد تلقيه تهديدات... و لا وجود لمترشحين.
لم تتلق أمس لجنة الترشيحات لرئاسة شباب قسنطينة أي ملف حتى انقضاء آخر أجل لإيداع ملفات الترشح رغم تمديد المهلة بساعتين " الثانية ظهرا أمس الأربعاء" .
علام ينسحب بعد تلقيه تهديدات... و لا وجود لمترشحين.
لم تتلق أمس لجنة الترشيحات لرئاسة شباب قسنطينة أي ملف حتى انقضاء آخر أجل لإيداع ملفات الترشح رغم تمديد المهلة بساعتين " الثانية ظهرا أمس الأربعاء" .
Mission accomplie pour la commission dite de sauvegarde du CSC. Les membres de l’AG de ce club ont, en effet, approuvé, et à l’unanimité, dans la réunion ordinaire de cette instance tenue avant-hier, le bilan moral et financier présenté par cette commission à l’issue d’une gestion «pathétique» mais qui a quand même réussi le pari et fait voir aux clubistes le bout du tunnel en évitant de déclarer forfait l’année dernière..
Le fait marquant de l’assemblée générale de lundi dernier a été sans conteste la fin du règne d’un groupe d’anciens dirigeants. Les Boudjeriou, Chenni, Boumedous n’ont pu imposer leur point de vue.
C’est avec une attitude d’écolier pris en faute que le président du comité de sauvegarde du CSC a demandé des excuses aux membres de l’assemblée générale pour la gestion de la saison 2007-2008.
صادق اعضاء الجمعية العامة لشباب قسنطينة بالإجماع أول امس على حصيلة التقريرين الادبي والمالي لعهدة اللجنة المؤقتة للتسيير برئاسة يوسف بوحلاسة للموسم المنقضي (2007-2008).
في جمعية عامة دامت قرابة الساعتين و النصف، حيث اتسمت بعض فتراتها بالتوتر تم قبول جمال علام كعضو جديد في الجمعية العامة للنادي الرياضي القسنطيني، و هذا بعد تزكيته من طرف غالبية الحضور.
Tous les regards des clubistes vont se tourner vers l’organisation de l’assemblée générale élective qui, sous toutes réserves, pourrait avoir lieu le dimanche 6 juillet. Une AGE fortement attendue, du fait que l’occasion va être de taille pour doter le club d’un nouveau président, après le départ de Bouhlassa.
Les années se suivent et se ressemblent concernant les assemblées du CSC. Celle qui s’est tenue lundi dernier n’a pas dérogé à la règle tant les débats ont atteint un degré de tension au point où personne n’entendait celui qui était censé parler au micro.