CSC 1 - MOC 1 - 8
CSC 1 - MOC 1 
Stade Chahid Hamlaoui (Constantine)
Arbitrage : Mial, Achouri, Messaoudi.
Buts : Sebihi 31’ (MOC). Benmili 45’+4’ csc (CSC)
Averts : Khelaf, Chakir, Amiour, Daif (CSC). Ferhat, Sebihi, Cheniguer, Behillil (MOC).
CSC : Daif, Bouteria, Amiour, Harkas, Debbous, Ouslati, Khelaf, Chakir, Derradj (Boulaouidat 78’), Boukous, Ouachem.
Entr : Benyelles.
MOC : Toual, Behilli, Bououdene, Athmani (Belmokh 75’), Aoun Seghir (El Far 90’), Cheniguer (Boudjelid 75’), Benmili, Meguenni, Ferhatn Khanfsi, Sebihi.
Entr : Tebib
Habituellement plein à craquer, pour cette joute, le stade Chahid Hamlaoui n’était rempli qu’à 70%, preuve s’il en faut du désintérêt de nombreux fans des deux camps qui, comme à l’accoutumée, n’ont pas manqué grand-chose. Encore une fois, les 22 acteurs ont produit un jeu tout juste moyen ; il était presque impossible de compter trois passes successives entre joueurs d’une même équipe. Il y a eu certes beaucoup d’engagement de part et d’autre, mais hélas en l’absence du spectacle tant recherché.
Les Clubistes donnent l’alerte les premiers par l’intermédiaire de Ouachem, qui adresse un centre en pleine surface de réparation, mais Derradj est trop court sur la balle. Dix minutes plus tard Bououdene réplique de la même manière, côté MOC, mais Cheniguer ajuste mal le heading croisé qu’il tentait. A la demi-heure de jeu, un penalty est accordé aux Mocistes suite à une main constatée sur la surface de réparation de Daif et longuement contestée par les Clubistes. Sebihi se charge d’exécuter rapidement et efficacement la sentence. Le tir de Ouachem, à la 40’, aurait pu remettre les pendules à l’heure, mais il a dû se heurter à un Toual des grands jours. Alors que l’on se dirigeait vers la mi-temps, un tir anodin de Derradj est dévié de la tête par le défenseur Benmili, qui trompe involontairement son propre gardien.
La seconde période est dominée par le CSC face au repli des Mocistes, qui préférent opérer par des contres. Malgré ce score nul, Benyelles n’a procédé qu’à un seul changement à cause surtout du manque de solution au niveau du banc de touche.
Lamine Benzaoui - El Watan
