Kab : Notre vrai départ ce jeudi
Comment avez-vous vécu cette première défaite face à l’ASMO ?On ne s’attendait véritablement pas à cette défaite, car le groupe était décidé à réagir et à réussir son entame. Malheureusement, il y a eu des moments de déconcentration, surtout sur les deux buts de notre adversaire. C’est sur deux balles arrêtées que notre défense a dû baisser les bras. Pour cette défaite, il n’y a pas de responsabilité particulière, car c’est tout le groupe qui doit assumer ce qui s’est passé. Malheureusement, nous n’avons pu exploiter ne serait-ce qu’une ou deux occasions créées par notre formation.
L’équipe a fait preuve de moins de combativité que lors des rencontres de préparation...
Cela est une certitude, car lors des rencontres de préparation, il y avait plus de volume et d’engagement. A l’occasion de cette rencontre de début de championnat, le groupe entier a évolué bien en deçà de ses possibilités. Je pense que l’enjeu et autres considérations ont eu raison de nous. De plus, l’on a ressenti beaucoup de lacunes au niveau de la cohésion, tant entre les différents compartiments qu’entre éléments évoluant ensemble. C’est le début et nous avons ressenti l’obligation de faire plus dans les matches à venir.
Les observateurs ont mis en évidence la faiblesse de votre milieu de terrain…
Non, je ne pense pas que quelqu’un a visé ce compartiment de l’équipe. Je le redis, si on avait réussi à ouvrir la marque lorsque le score était de zéro à zéro, nul n’aurait trouvé rien à redire. De plus, il y a eu les deux réalisations de Mezianie et Farès refusées pour des fautes non évidentes. J’estime que si lacune il y a, elle est imputable à tous les joueurs et nous devons assumer, c’est tout.
Vous attendiez-vous à une production aussi mitigée ?
Il faut partir avec l’idée qu’aucun club n’est en mesure de retrouver tous ses moyens après seulement trois semaines de travail. En football, la réussite est liée au travail sérieux, continu et durable. Si on persiste à œuvrer dans la sérénité, nous pourrons aspirer à monter un groupe conquérant. En revanche, si l’on ne recherche qu’un résultat, on pourrait l’avoir dans l’immédiat, mais sans construire quelque chose de durable. Le meilleur choix, c’est de penser à travailler de façon continue dans le temps.
Vous allez recevoir le MO Béjaïa ce jeudi, un commentaire ?
Il n’y a aucun calcul à faire pour le compte de cette rencontre, non pas parce que nous avons perdu notre face-à-face de l’ASM Oran, mais beaucoup plus pour notre moral et celui de nos supporters. La victoire est obligatoire de même que notre façon de faire. C’est notre première officielle sur notre stade, Hamlaoui, laquelle devrait représenter notre véritable départ. Une victoire dans ce rendez-vous serait synonyme de moral retrouvé pour la suite de la compétition. Cet avis n’est pas uniquement le mien, mais celui de l’ensemble de mes partenaires.
Cela est une certitude, car lors des rencontres de préparation, il y avait plus de volume et d’engagement. A l’occasion de cette rencontre de début de championnat, le groupe entier a évolué bien en deçà de ses possibilités. Je pense que l’enjeu et autres considérations ont eu raison de nous. De plus, l’on a ressenti beaucoup de lacunes au niveau de la cohésion, tant entre les différents compartiments qu’entre éléments évoluant ensemble. C’est le début et nous avons ressenti l’obligation de faire plus dans les matches à venir.
Les observateurs ont mis en évidence la faiblesse de votre milieu de terrain…
Non, je ne pense pas que quelqu’un a visé ce compartiment de l’équipe. Je le redis, si on avait réussi à ouvrir la marque lorsque le score était de zéro à zéro, nul n’aurait trouvé rien à redire. De plus, il y a eu les deux réalisations de Mezianie et Farès refusées pour des fautes non évidentes. J’estime que si lacune il y a, elle est imputable à tous les joueurs et nous devons assumer, c’est tout.
Vous attendiez-vous à une production aussi mitigée ?
Il faut partir avec l’idée qu’aucun club n’est en mesure de retrouver tous ses moyens après seulement trois semaines de travail. En football, la réussite est liée au travail sérieux, continu et durable. Si on persiste à œuvrer dans la sérénité, nous pourrons aspirer à monter un groupe conquérant. En revanche, si l’on ne recherche qu’un résultat, on pourrait l’avoir dans l’immédiat, mais sans construire quelque chose de durable. Le meilleur choix, c’est de penser à travailler de façon continue dans le temps.
Vous allez recevoir le MO Béjaïa ce jeudi, un commentaire ?
Il n’y a aucun calcul à faire pour le compte de cette rencontre, non pas parce que nous avons perdu notre face-à-face de l’ASM Oran, mais beaucoup plus pour notre moral et celui de nos supporters. La victoire est obligatoire de même que notre façon de faire. C’est notre première officielle sur notre stade, Hamlaoui, laquelle devrait représenter notre véritable départ. Une victoire dans ce rendez-vous serait synonyme de moral retrouvé pour la suite de la compétition. Cet avis n’est pas uniquement le mien, mais celui de l’ensemble de mes partenaires.
Entretien réalisé par Tahar Aggoune
