A l’opposé, le président Bouhlassa, qui reste sous les feux de la rampe, ne sait plus à quel saint se vouer : «Nous préparons nos bilans moral et financier et tout se déroule normalement. Cependant et au vu de la frénésie qui a vu le jour, je ne peux m’empêcher d’organiser notre assemblée. Moi-même j’ai envie de terminer au plus vite et reprendre ma vie normalement. De ce fait, je ferai tout pour que l’assemblée générale du club puisse se tenir le’ plus tôt possible. J’espère qu’il va y avoir des candidats potentiels. A défaut, nous vivrons le même scénario que celui de la saison écoulée avec pas moins de quatre assemblées générales avortées.»
T. A.